Laos... La hausse des prix.

Publié le par Bob & Manus

N'ayant pas dormi de la nuit, nous profitâmes des 15h de bus afin de grappiller un peu de sommeil. Le 19 juin vers 17h on se réveilla à la frontière laotienne.

 

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Nous allions entrer par la pointe sud dans le pays dont tout le monde nous avait parlé comme très nature avec une population très gentille et agréable. Nous avons assité au passage de frontière d'une cargaison de porcs .

 

 

Peu de temps après nous étions presque arrivés à destination. En effet Don Det étant une île (la zone s'appelle "4000 islands") il fallait encore emprunter une simple pirogue. Les 5 touristes qui avaient été débarqués avec nous ne voulaient pas vraiment négocier la prestation estimant que 20 000 kips (environs 2€) était une broutille. Il faut se rendre compte que le local qui nous a fait cette traversée a récolté en 10mn 14€ (2€ fois 7 personnes), alors qu'en moyenne en campagne un laotien gagne 5€ par jour.

Alors évidemment tout le monde n'a pas la même réflexion ayant sur soi un portefeuille remplit d'euros ou de dollars avec le budget vacance, mais il faut respecter la justesse des prix dans le milieu dans lequel on se trouve.

La prochaine fois qu'une pirogue tentera de nous rouler en présentant un prix individuel fixe surdimensionné, ne voulant pas faire de ristourne pour un groupe, on lui fera faire plusieurs trajets .

 

Une fois accostés nous avons dégotté un hébergement bon marché (1 nuit à 15000 kips par tête... moins chère qu'une traversée ).

Don Det est très jolie, et très nature.

 

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Oh mais celui-la il me ressemble, avec la même coupe que j'avais à Phu Quoc .

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Nous avons fait une après-midi en pirogue sur le Mékong... attendant impatiemment le magnifiiiiique couché de soleil. C'était simple et magique.

 

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Le lendemain nous nous sommes offert un simple petit tour de l'île à vélo.

 

 

Le 21 nous mettions les voiles sur Pakse. Cette ville est la 3ème plus grande et ne compte pourtant que 70 000 habitants, elle est l'une des plus importantes en termes économiques. Rappelons tout de même que le Laos n'est pourvu que de 6 millions d'habitants dont 85% vivent en milieu rural.

 

A Pakse vous pouvez vous PACSER mais il n'y a PACSA .

Sérieusement on a vite remarqué qu'il n'y avait pas forcément grand chose à y faire. Etant inutile d'y passer une nuit, nous cherchâmes directement à nous rendre à Saravane. Saravane est situé dans la zone nommée "le plateau des Bolovens" et est perché en altitude, présentant ainsi de beaux coins nature.

On se renseigna afin de trouver le bus qui nous y emmènerait, mais les départs ne se trouvaient pas dans la station de bus de Pakse, mais à l'extérieur de la ville. Ayant le temps et plus l'envie de se dégourdir les jambes que de dépenser inutilement de l'argent pour un touc-touc, nous décidâmes de nous y rendre à pied.

Un original touc-touc en sidecar. Certains sont simplement des "pick-ups" aménagés.

 

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Version plus standard.

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D'autres empruntent les transports en commun .

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Pour en finir avec les moyens de locomotions, je me permets d'ajouter qu'au Laos il est fréquent de voir les jeunes filles rouler en motorbike munies d'une ombrelle.

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Demandant plusieurs fois notre route afin de ne pas rater la station, on s'arrêta devant une petite cantine où le gérant nous indiqua qu'on venait de la dépasser. Il nous rassura en précisant qu'on pouvait attendre le bus tranquillement devant chez lui car il suffisait juste de lui faire signe de s'arrêter lors de son passage d'ici une vingtaine de minutes.

Dans ces conditions, il ne nous restait plus qu'à nous installer confortablement sur les 2 chaises qu'il venait de nous mettre à disposition et de siroter une ptite bière afin de nous réhydrater.

Commençant à sympathiser avec le marchand autochtone, nous commencions à nous inquiéter de la non venu du-dit bus. En plaisantant je lui lança que si le bus ne venait pas on pourrait toujours dormir dans son garage. Il nous répondit que oui.

A ce moment là, on commença à en discuter avec Manus et nous nous mîmes d'accord sur le fait que ce serait chouette de passer la nuit à l'arrache et de profiter d'un moment authentique avec des locaux.

Nous lui fîmes part de nos plans, le "deal" étant que s'il nous offrait le gîte il aurait 2 clients de plus pour le dîner et le petit déjeuner .

Le bus passa devant nous sans que personne ne l'arrêta, sans suivi une soirée vraiment charmante.

 

Notre couchage.

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Pour ceux que ça fait "chier" d'être sur un piédestal...

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Notre hôte Teeb et sa femme, dont nous étions les hôtes (merci la langue française ).

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Le 22 juin au matin après un bon ptit déj, nous arrêtâmes le bus... Ha non ça c'est le livreur de glace .

 

 

Donc nous arrêtâmes le bus et nous nous dirigeâmes vers Saravane. Nous passâmes 4 heures dans un bus bondé, tellement entassés les uns sur les autres que Manus vint prendre place sur mes genoux .

- Euh...c'est tes clés Bob ou t'es content de m'avoir sur tes genoux ?

- C'est mes clés...

"SOUPIR" .

 

Une fois sur place, il fallut marcher 2 km pour nous rendre au centre du village (vous avez compris qu'on est pas amateur de touc-touc ).

 

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Même si on peut penser qu'il n'y a rien et que c'est pauvre...

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... il y a de l'argent à l'image de ce genre de bâtisses.

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Après un bref passage obligatoire à la banque...

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... nous nous octroyâmes une pause houblonnée dans un petit shop.Les gens étant encore une fois très avenants et gentils (tout comme nous d'ailleurs ) nous sympathisâmes rapidement.

 

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Ils nous confirmèrent ce qu'il y avait d'incontournable à aller voir dans le coin mais aussi qu'il fallait un scooter pour s'y rendre. Les locations de scooters n'inondant pas le marché, nous tentâmes de négocier la location de leur véhicule personnel.

 

Les passeports et quelques kips en échange des clés, nous voilà partis pour les chutes de Tadlo. Une fois sur place, si "t'as de l'eau" (Tadlo) c'est cool, si t'en as pas tant pis .

 

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Ce fut splendide, et afin de terminer notre escapade dignement nous eûmes droit à un magniiiiifique couché de soleil.

 

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Le temps était venu de rapporter le scooter. Tout était nickel, la jauge d'essence devait être défectueuse, car les 60 km n'ont pas fait bouger l'aiguille du niveau maximum.

Une fois de retour, Manus et moi nous interrogeâmes sur la disparition de l'énorme lézard que nous avions vu en début d'après midi, notre futur hôte nous expliqua qu'il était en train de cuire dans la marmite... qu'il nous invita à déguster.

Bilan de la soirée, baptême gustatif au lézard et visionnage du match Mexique – Urugay (0-1) car aucune chaîne ne retransmettait le France - Afrique du Sud.(1-2).

Alors dans l'ordre, le lézard a un peu le goût d'un poisson doux avec des os à la place des arrêtes. Je pourrais vous dire qu'il se rapproche de celui du serpent mais ça ne vous avancerait pas beaucoup.

Le match Mexique – Uruguay fut un régal, nous aurions perdu notre temps à supporter (supporter dans le sens tolérer ou endurer et non pas "encourager") notre nation. Allez les bleus faites vos valises et estimez vous heureux d'avoir mis un but.

 

Le 23 nous aussi nous fîmes nos valises et vers 15h nous partîmes pour Vang Vieng. C'est une petite ville bordée par la Nam Song (pour une fois que ce n'était pas le Mékong, ce n'était autre qu'un de ces nombreux affluents ). Elle compte environ 25 000 habitants.

 

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Cette ville, qui attire beaucoup de touristes, a peu d'intérêt par elle-même (ni au niveau culturel ni au niveau historique), c'est le cadre naturel constitué de montagnes karstiques percées de grottes naturelles qui en font un stop inévitable.

 

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Les bars présentent de petits coins cosys.

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Etant située au nord du laos, entre Luang Prabang et Vientiane, les 20h de bus était justifiés . Les dernières heures de bus sur une route très sinueuse furent très éprouvante pour certains. Légèrement éreintés et peu reposés nous nous limitâmes à faire un petit tour de la ville afin de prendre la température. Le soir avant de sortir on s'octroya une sieste qui finalement se transforma en nuit complète .

Le lendemain, nous partîmes à la découverte des "Water-caves Hoi" (sous les conseils de Laure rencontrée à Siem Reap souvenez-vous ). Elles se situaient à environs 12km de Vang Vieng que l'on parcourut évidemment à vélo.

 


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Il faut avouer que nous étions un peu sceptique d'y trouver des cavernes inondées où nous aurions de l'eau jusqu'au bassin (notez le discret jeu de mot "eau" et "bassin" ). Ca commençait très fort en ratant la bifurcation alors que nous y avions fait une pause, juste au pied du panneau. Une fois revenu sur nos pas, où plutôt sur nos traces puisque nous étions à vélo , nous remarquâmes qu'il fallait franchir la rivière. Le pont ne semblait pas ou plus en état, mais rapidement une pirogue vint à notre rencontre. Nous n'étions pas encore allergique aux pirogues mais nous aurions pu le devenir. Cette fois-ci d'un 20000 kips par personnes annoncé, nous négociâmes à 10000 kips le trajet aller-retour.

On se dirigea vers les personnes qui semblaient s'occuper de l'entrée, nous leur dîmes simplement "Cave Hoi" pour que l'un d'entre eux s'active à encaisser notre argent, nous fournir un ticket et nous emmener vers l'entrée d'une grotte.

Notre surprise fut difficile à cacher lorsqu'on remarqua qu'il s'agissait d'une cavité d'environ 100m² transformée en sanctuaire avec un bouda qui trônait majestueusement au fond dans la pénombre.

A ce moment là, Manus me lança :

- C'est une blague, on est pas venu ici pour ça ?

- Ben remarque, c'est une grotte, il y a de l'eau... enfin c'est humide et on a même Bouda en prime.

- Ouep ça sent l'arnaque, merci Laure .

- Bon attends on va voir avec les mecs de devant s'ils veulent bien faire une pause dans leur jeu de cartes.

 

Après quelques échanges dans un anglais léger, il nous fit signe de suivre un autre gars. Celui-ci nous fit traverser des chemins, des champs, des rizières, pour arriver à un endroit qui semblait plus naturel, plus préservé et surtout plus mystérieux.

On s'engouffra tous 3 dans l'antre sombre et glissante de la montagne. Muni de lampes frontales, cette expédition tenait plus de la spéléologie que de la grotte illuminée pour touristes sédentaires.

A un moment notre guide stoppa net devant une étendue d'eau (c'était donc vrai ), il enleva son t-shirt et son short tout en nous faisant signe d'en faire autant. Sauf que nous, on avait également nos chaussures à enlever alors que lui avait prévu le coup et avait des sandalettes en plastique. Ce détail est très très important, car avec ma plante des pieds fragile et sensible, combinée à un équilibre digne d'un individu sous l'emprise de l'alcool, je me suis rapidement transformé en celui qui ferme la marche... mais malgré lui .

 

 

S'enfonçant de plus en plus au coeur de la terre, j'étais le boulet, celui que la voiture balai guette espérant abréger ses souffrances . Bref ce n'est pas mon genre, mais j'avais franchement du mal à avancer entre les cailloux pointus ou à ne pas glisser sur la glaise. Je me rassurais en distinguant la lueur de la frontale de Manus le téméraire. Je prenais sur moi en silence, pestant contre moi-même et frustré de cette faiblesse avouée.

Après 45mn de randonnée semi-amphibie et douloureuse, nous arrivâmes à une impasse, où nous pûmes nager en guise de récompense (dans l'eau je me sent bien plus à l'aise ).

 

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Nous rebroussâmes chemin et moi, plus que Manus, fut heureux de pouvoir remettre mes chaussures et gambader à nouveau... youpi tralala .

Ca mérite une petite chansonnette .

 

 

Nous avons réellement apprécié ce moment qui s'est conclu sur un calumet de la paix avec du tabac local ...

 

Le 26 nous remontâmes dans un bus pour nous rendre à Luangprabang (encore un peu plus au nord et toujours dans un environnement très montagneux). Le bus qui nous avait emmené à Vang Vieng tanguait déjà considérablement, mais celui dans lequel nous étions tenait plus du manège de fête foraine que du transport en commun. Une vieille dame et une enfant ont passé plus de 2 heures la tête dans un sachet se vidant de leurs tripes, j'en était amené à avoir des scrupules d'être plongé dans mes écrits sur le PC.

 

Même le bus a souffert.

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Par contre appréciez la magnifique vu... des Vosges .

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Cette ville fut formellement la capitale royale du Lan Xang à partir du XIVème siècle (royaume du million d'éléphants) sous le nom de Xieng Thong Xieng Dong. La capitale fut transférée à Vientiane pour des raisons de sécurité en 1563.

 

Après 1 siècle de pillage et d'occupation dans la ville, le royaume de Luang Prabang accepta le protectorat français pour tout le pays en 1893.

Durant cette époque les Français reconstruisirent Vientiane, la dotant d'infrastructures, de routes et d'universités, et agrandirent le Royaume de Luang Prabang en intégrant des provinces du nord et de l'ancien État de Vientiane. La cité de Luang Prabang, où réside le commissariat français, se dote dès lors d'une architecture qui conserve de très nombreuses et charmantes traces de la présence française.

 

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Luang Prabang est incontestablement un des très hauts symboles du bouddhisme en Asie (des dizaines de temples occupent près d'un tiers de sa surface totale).

 

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Une petite balade à vélo (encore une fois ) nous a permis de découvrir les recoins de cette élégante ville.

Il y avait une petite croisette où les terrasses se succédaient.

 

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Des moments simples et rafraichissants sont innévitables (James j'en profite pour placer mon cavalier G8 en F6 ).

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Allez... fini la pause on se remet au boulot.

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Un original pont en bois...

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... et son sympathique gardien francophone.

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Tous les soir un "Night market"s'organisait.

L'influence française est très présente dans le domaine de la restauration. La France coopère également depuis 1995 à la mise en valeur et à la protection de la ville qui est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO. Une stèle a donc été érigée.

 

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Dans notre Guest House nous avons fait la rencontre de Stéphane, un amoureux de l'Asie établit à Taiwan afin d'y exercer son métier de chercheur (histoire et culture). Cet intéressant personnage voue une passion pour le piano. Nous n'avons malheureusement pu partager que quelques heures ensemble.

Nous avons également rencontré Am, une petite laotienne qui n'était autre que notre voisine de chambre et qui allait prendre le même bus pour Vientiane.

 

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Am habite depuis 3 ans à Chiang Mai (Thailande), elle a profité de sa venue au Laos pour refaire son visa thaïlandais afin de visiter le nord de son pays d'origine. Nous lui avons servit d'escorte durant la soirée, car elle fait partie de celles qui ne s'aventurent pas seule le soir.

 

Le 29 au matin nous arrivions dans la capitale du Laos sous la pluie. Vientiane comprend 800 000 habitants. Cette ville borde évidemment le Mékong, dont les rivages sont en plein travaux.

 

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Version achevée...

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Elle marque la frontière avec la Thaïlande et se trouve presque en face de la ville thaïlandaise de Nong Khai.

On ressent une volonté de construire, d'améliorer de faire du beau, à l'image de ces superbes monuments, mais l'objectif n'est pas encore complètement atteint.

Le centre culturel.

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Patuxay (Monument à la mémoire des victimes de la guerre au Laos, le Patuxai se trouve à l'extrémité de l'avenue Lan Xang, appelée populairement les Champs-Élysées de Vientiane... Seul un aveugle ne verrait pas la ressemblance avec l'Arc de Triomphe).

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L'esplanade du Pha That Luang

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Petite collation.

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C'est une ville où à nouveau les différences sociales sont flagrantes (à l'image du pays tout entier).

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Un petit couché de soleil afin de clotûrer la journée comme il se doit.

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Un tour de la ville, une bonne soirée durant laquelle nous remarquons à nouveau la gentillesse et la générosité laotienne. Ces gens savent faire la fête, sont souriants, rigolent et boivent énormément de bière.

Une courte nuit de sommeil, un bon repas et nous voilà embarqué dans un touc-touc vers 15 heures direction la frontière thaïlandaise... Elsa et Vaness, bouclées vos valises car nous serons à l'heure au rendez-vous.

Publié dans 21 Laos

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J
<br /> Salut les gars,<br /> <br /> Autant pour moi , c'est de ma faute maintenant !! la balle au centre , je me replie avec mon fou situé en B5 vers D3 ( Je trouvais d'ailleurs un peu surprenant que je puisse vous faire la petite<br /> fourchette ...)<br /> Bonne route<br /> <br /> James<br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> Hello James... Je place mon pion C6 en C5... Nous restons sur Chiang Mai until the 13 october...<br /> <br /> <br /> ++ Bob<br /> <br /> <br /> <br />
Y
<br /> OHHH, oui, bien dit James, prenez votre temps, car mis à part vos proches qui vous manque et à qui vous manquez, certainement, vous ne perdez rien, absolument rien.....<br /> Et comme dit une connaissance qui est partie depuis dix ans faire le tour du monde à vélo "" le pire moment des vacances c'est le retour, alors je vais vivre le restant de ma vie en<br /> vacances....""<br /> <br /> A biennnnntôt,<br /> yves.b<br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> Tu l'as dit... et rien à ajouter !!!<br /> <br /> <br /> Merci Yves...<br /> <br /> <br /> <br />
J
<br /> Salut les gars ,<br /> <br /> Gare à la mousson , surveillez vos orteils ! . Si ces derniers développent de la moisissure , changez de climat car l'humidité est vraiment excessive pour deux gaillards originaire de la vallée de<br /> la thur.<br /> Concernant notre petite partie d'échec disputée à quelques milliers de km , nous allons passer aux choses sérieuses .<br /> Ton pion situé en B7 prend mon cavalier en C6 .Mon fou en B5 te prend ton pion en C6 et je t'annonce un "échec" fourchette avec une petite tour à la clef au prochain tour hi hi hi<br /> des photos !<br /> des photos !<br /> des photos<br /> des vidéos aussi !<br /> des vidéos aussi !!<br /> avec les récits bien sur .<br /> Prenez votre temps et vous avez bien raison !!<br /> <br /> Bonne route<br /> <br /> James<br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> Hello James... désolé mais j'avais prévu le coup en déplacant mon fou en D7 le coup précédent... je pense que tu n'as pas du en tenir compte. Je t'envois le récapitulatif de la partie et<br /> l'échiquier au format xls... Dis moi si tu valides ce que j'ai et on peu revenir en arrière si problème...<br /> <br /> <br /> Ce soir nous fêtons tranquillement nos 16 mois de voyage... ou plutot de vacances comme dirait Yves...<br /> <br /> <br /> @ bientot Bob<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> LA O S..ur la montagne, et tra la la o s..,c'est super!<br /> Quelle jolie promenade, champêtre et bucolique à travers le Laos.Vous nous avez montrés de très beaux paysages,les cascades j'ai aimé pour en avoir vu de très belles en Croatie. Je suis toujors<br /> aussi épatée de vivre tout cela avec vous. D'ailleurs, ça commence à faire longtemps que nous ne nous sommes pas vus, car si tu as été chez nous pour ton anniversaire, en tout cas, nous n'y étions<br /> pas, car je ne me souviens pas t'avoir vu. Quant à se revoir, nous devrons encore un peu patienter, le temps de finir à fouetter les chats que nous avons à fouetter, et qui je précise ne sont pas<br /> des chats. Mais j'y songe car vous commencez à nous manquer et à papa aussi, du moins je pense.<br /> Au fait, où en est le climat avec la "mousson"? J'ai trouvé le régime très sec, il a d'ailleurs gagné en poésie, à peine une furtive allusion houblonnée... C'est pour vous taquiner.<br /> A bientôt les garçons. Boxez bien et énormes bisous.<br /> Maman et Papa<br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> Hello, merci les parents... Cette semaine la mousson a fait rage... genre 4 jours de pluie quasi non-stop. Nous qui croyons être un peu à l'abrit à Chiang Mai. Mais bon hier c'était méga méga<br /> soleil et aujourd'hui pareil. Sinon la boxe se passe bien. Aller je vous laisse et en ce qui concerne les bières il faisait quand même très chaud au Laos ;-)<br /> <br /> <br /> Bisous Boytzou<br /> <br /> <br /> <br />
E
<br /> Hello, à la recherche d'info sur Gdansk j'ai trouvé votre site : très sympa ! Nous on fait plus petit tour ( seulement 1 an !! ) que vous, mais à l'envers : du Pacifique vers l'Europe.<br /> 2 petites choses : on a bien pris notes de vos conseils pour Prague, et tant qu'à être en Australie, si vous pouvez, faite un petit tour par la Nouvelle Calédonie ( c'est de là qu'on vient ), c'est<br /> vrai que c'est cher mais c'est plutôt bien !<br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> Hello Elo... merci et bonne route à vous aussi. La nouvelle Calédo pourquoi pas, mais on aurait plutot été branché Phillipines... mais à voir, car nous ne sommes pas contre quelques détours hihi.<br /> <br /> <br /> @ bientôt et éclatez vous sur Gdansk hihi...<br /> <br /> <br /> <br />